Aujourd'hui, je commence une nouvelle série de pubs avec l’enthousiasme de la jeunesse et la sagesse de la vieillesse. Je t'ouvre les coulisses de la créâââtion, non, ne me remercie pas, c'est pour moi. Il est déconseillé aux auteurs d'expliquer leur oeuvre, c'est pourquoi je vais m'empresser de ne pas suivre cette recommandation.
Commençons par Les régressions de Richard Bachman. Pour peu que t'aies la lumière à tous les étages, t'as dû reconnaître dans le titre l'un des pseudonymes du maître. Je souhaitais faire plusieurs choses en m'attelant à l'écriture de ce pavé. Tout d'abord, je voulais rendre hommage à l'un de mes écrivains préférés, dont l'oeuvre vaut bien mieux que tout ce que des critiques obtus en ont écrit au début de sa carrière (il est maintenant admis, hormis pour une poignée de peigne-culs, que c'est un grand écrivain, bien que très inégal dans sa production, et tant mieux). Secundo, je voulais écrire un pur bouquin de SF, un genre que j'adore et auquel je ne me suis pas tant frotté que ça, et plus particulièrement traiter du voyage dans le temps. Il est apparu que je voulais le faire de façon originale, en dépoussiérant le concept de multivers (c'était juste avant que Marvel débarque avec ses gros sabots et fasse n'importe quoi) et en profiter pour parler des choix que l'on fait dans une vie, même les plus insignifiants, et qui conditionnent le reste de votre existence. Bon, tu me diras "oui mais ça a déjà été fait !" Oui, bien sûr Jean-René que j'ai pas réinventé la roue, mais lis donc mon Truc avant de dégoiser, tu pourrais bien être surpris.
Donc voilà, Les régressions de Richard Bachman est disponible aussi bien en ebook qu'en papier, choisis ce qui te semble le plus écologique. Au cas où tu hésiterais à t'investir, il est aussi dispo en quatre épisodes, oui oui oui, comme au bon vieux temps d'Alexandre Dumas. Ah, et n'oublie pas qu'oublier de laisser un commentaire sur babelio, amazon, les réseaux sociaux, ton blog, YouTube, c'est aussi mal que croiser les effluves. Je t'ai à l'oeil, comme dirait Jean-Marie.
