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  • Photo du rédacteurFrédéric Soulier

Derniers retours sur L'horreur venue de l'abîme

Derniers retours sur L'horreur venue de l'abîme. Sachez, précieux lecteurs, vous qui me payez mes cafés gourmands à la machine Servex, que ces quelques instants retranchés de votre temps de cerveau disponible, que vous m'avez accordés pour laisser un commentaire sur cette hoeûvre, que cet effort intellectuel, disais-je, vous assure d'orge et d'orgeat une place au Paradis, au Valhalla, au Valinor ou tout autre terminus imaginaire. Les ceux et ceusses qui auront lu L'horreur venue de l'abîme sans le faire finiront probablement torturés par des nains bicéphales armés de fourchettes à escargot, avec un casque Bose diffusant l'intégrale d'Aya Nakamura littéralement vissé sur les tempes, dans les tréfonds brûlants d'un quelconque pandemonium. Alors si tu veux assurer à ton âme immortelle une retraite bien méritée, tu sais qu'est-ce qui t'reste à faire. https://www.amazon.fr/Lhorreur-venue-lab%C3%AEme-Fr%C3%A9d%C3%A9ric-Soulier-ebook/dp/B0CT5VTMR7


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Quel plaisir !


Commenté en France le 20 février 2024


Encore une nouvelle lut d'un trait. Un style inimitable, une somptueuse écriture, et beaucoup d'émotions. Un régal. Foncez !


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Dans mes petits souliers


Commenté en France le 18 février 2024


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Ça faisait un moment que je n’avais plus lu un Soulier, j’ai retrouvé avec plaisir l’auteur que j’ai découvert avec « la chambre de lactation » dans cette histoire inspirée de l’univers de Lovecraft. Un style efficace, des personnages bien campé, j’ai, sans surprise, passé un excellent moment.


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Un horrible délice !


Commenté en France le 11 février 2024


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Ô toi, lecteur sensible, je t'offre cette légende, poussée du fond des pubs bruyants, par un pirate à l'haleine fétide.


Ô toi, lecteur conscient, je le livre cette histoire arrachée de la mémoire d'un homme qui n'a plus rien à perdre.


Ô toi, oseras-tu défier la raison, et entendre la folie des hommes et de leur planète ?


J'ai moi-même cédé au sortilege de Frédéric Soulier. J'ai bu les paroles de ses personnages avec une passion noire pour cet enfer Lovecraftien.


Parle-t-on de surnaturel, de fantastique, de science-fiction ? Peu importe la classification, tant que l'horreur vous dégouline des canines.



Pourtant, tout commençait bien, pour François Lescuelle, botaniste missionné en 1912 par son patron, chef d'une entreprise coloniale de gestion du bois. Notre héros est moderne, peu enclin à partager les idées racsistes et homophobes de certains de ses contemporains. François est jeune et beau, qui plus est. Et le cadre idyllique dans lequel il évolue (une archipel quelque part en Océanie) n'enlève rien à son plaisir de travailler (si ce n'est cette population de moustiques agressifs et porteurs de maladie). Jusqu'à la rencontre fatidique avec la porte des enfers, parmi la verdure luxuriante et la farniente qui s'installe.



"- Vous ne m'avez pas dit son nom, mon père.


- Le nom de la Vaidu ? C'était Jaina, je crois, mais plus personne ne l'appelle ainsi, pas même sa famille. Elle a perdu son identité quand elle a été choisie.


- Non. Je veux parler de leur divinité, pour autant qu'ils n'en aient qu'une.


- Oh... Ils l'appellent Cthulhu. »


Un frisson parcourut Lescuelle. «Cthulhu », répéta-t-il. Ce nom était aussi désagréable à entendre quà prononcer. Il écorchait l'oreille, agaçait les dents et glaçait les lèvres. D'ailleus vous qui le lisez - qu'on me pardonne son orthographe, j'ai essayé d'en restituer la phonation gutturaleque m'en fit Lescuelle - vous qui le lisez, ne fait-il pas comme une auréole de noirceur quelque part dans le fond de votre esprit ? Ne vous évoque-t-il pas quelque cancrelat tapi sous un meuble, dans la poussière ? A son évocation, le mot me fait trembler comme un soldat atteint d'obusite, revenu brisé du front."



La plume de Frédéric Soulier est toujours aussi affûtée. Il frappe juste, et ses références sont respectées avec la plus grande fidélité, pour mon plus grand plaisir de grands frissons !!


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 Un très bon Soulier


Commenté en France le 11 février 2024


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Quand Soulier se débarrasse de ses envies de provocation envers la pudibonderie présumée de ses lecteurs, apparaît soudain toute l'étendue de son talent, grossi par l'impressionnante minutie de son travail documentaire.


Ce livre ravira les adeptes de Lovecraft, ce que je ne suis pas. Mais il ravira aussi les lecteurs appréciant l'aventure, la belle encre (de celle qu'on trouve sur les plumes des bons écrivains, mais aussi celle qu'on trouve dans les poulpes), la profondeur des sentiments humains, l'absurdité des obscures pulsions qui les animent...


Bref, un très bon cru.




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